Voici un petit conte, assez amusant, que j’espère vous avoir joliment illustré. Celui-ci sert d’introduction à une série d’articles portant sur l’influence de notre « regard » sur notre entourage et nos collaborateurs. J’espère que vous trouverez la lecture de cette histoire : agréable, interactive et instructive !
Merci à toutes celles et tous ceux qui prendront la peine de me faire part de leurs remarques !
(Le diaporama peut parfois mettre une quinzaine de secondes à se charger. Si cela dure plus longtemps, actualisez la page).
[newsletter]
Je suis bien d’accord avec la dernière phrase du conte.
Je n’ai pas encore réfléchi à cette phrase au sein du milieu de l’entreprise mais elle fait déjà réfléchir sur les relations interpersonnelles.
Pour les photos…y en a qui reviennent trop souvent, l’image joue beaucoup. Changes-en quelques unes peut-être? ça permettrait encore plus de « voyager » pendant qu’on lit ce conte, tout en intégrant que c’est proche de nous.
Merci Lucile, pour tes remarques ! Elles sont précieuses, elles me permettent de progresser ! C’est entendu : des images plus variées !
En effet nos modalités d’interactions dépendent fortement de la vision que nous avons du monde et des autres.Nous pouvons nous baser uniquement sur la perceptions que nous avons des choses et non sur la réalité de celles ci. Cela me rappel les positions de vie en A.T , ce sont nos certitudes (subjectives) sur nous et sur les autres qui sont la base de notre scenario de vie.
Cela nous encourage à nous concentrer sur le bon coté des choses et essayer d’être toujours optimiste. En tout cela ne peut pas faire de mal ;)
je te lirai avec attention.
Bonne continuation
Tout à fait !
Merci Marie, pour ton apport avec l’approche de l’analyse transactionnelle.
Que l’on appelle cela, perceptions, représentations, certitudes subjectives, ou encore croyances…Il s’agit en fait du même concept. Notre regard sur le monde, n’est pas anodin. Il nous influence et influence notre environnement. Il est important que l’on en soit conscient !
A ce sujet, il y a un livre très accessible qui explique en détail cela : « L’homme qui voulait être heureux » de Laurent Gounelle. Et merci pour tes encouragements qui me vont droit au coeur.
pardonnez au néophyte en psycho que je suis de ne pas m’exprimer en termes tehcniques aussi élogieux et scientifiques et chevronnés que mes petits camarades , mais dans un premier temps , laissez moi adresser mes sincères félçitations au fondateur de ce site , s’il peut faire avcancer un tant soit peu la bonne marche de ce monde , let’s do it ..par ses écrits et ses réflexions tout est bon à prendre …quant au cont e au regret de dire qu eje le connaissais déjà , et qu’il est , comme tous les contes très bien , il me rappelle une histoire que j’ai lu dans un album pour enfant
« les cinq afreux de Wolf Erlbruch , ed Millan…oû on y voit que l’essentiel est invisible aux yeux mon cher Saint Exupéry …Quant à l’article sur la motivation , il m’as plu certes , mais encore une fois nous ne sommes pas que des travailleurs , soumis à la règle du « mauvais patron » soumis comme des ouvriers …le monde de l’entreprise n’est certes pas idéal , et ne doit pas le devenir ..confondre bien être et plaisir , uh la limite est mince , le dérapag ,à existé dans ces entreprises citées précédemment les ouvriers , se sentaient bien chez dans leur travail avec différentes salles de commoditées , sauna , salle de sport , machine à laver et j’en passe des meilleurs et des pires résultat , le travail était deveniu une famille pour certains …et évidemmment le taux de rendement dans un esprit convivial s’est largement amélioré ,jusqu’au jour ou la réalité est revenu en pleine face de certainsqui ne voyaient plus ni amis ni famille et proches , le retour de baton é été terrible , dépression , ect …personnellemnt j’ai la chance d’avoir un travail ou je m’épanouis toitalement depuis 20ans et cela pourrait durer jusqu’à la retraite si une certaine routine ne pouvait s’installer ainsi qu’un certain confort .. »choisissez un travail que vous aimez et jamais vous en travaillerez seul dixit Confucius !
mais je n’envisage pas cela parce que je suis en pérpétuel remise en cause par le biai de mon travail mais aussi et surtout parce que j’ai une vie privée plus riche et plus intéressant e que mon travail qui ne passera jamais avant cela …la vie ne vaut rien , rien ne vaut la vie ..dans le micro robert , le dico des petits intellos et les psychos prendront le grand Larousse …il y a deux colonnes pour la définition de ce mot et cela termine par la définition du travail de la femmme enceinte qui met au monde , et nous le travail nous met il au monde ?
ansi , le but du travail est il de nous rendre heureux , je ne le crois pas il contribue à donner un sens , mais lequel lui accordons nous et necore une fois dans quel pririté , à notre vie essentiel certes pour vivre mais la vie aussi à un sens , et certes il faut se battre pour soi même , lorsque nous n’avons plus de travail , il ne reste amlors que le travail et le développement personnel et intérieur et croyez moi je suis passé par des périodes de chomage rudes et dures pour pouvoir en témoigner mais sans une estime saine et qualitative de moi je n’aurais pas remonter la pente , et continuer de vivre ..laissez moi fuir la menteuse et cruelle illusion du bonheur, donnez moi du travail de la fatigue , de la douleur et de l’enthousiasme Georges Sand ; et puis le mot travail selon , Alain ray, est un déverbal de travailler, issu du latin populaire tripalaire, lui meme venat de tripallum instrument de torture …enfin je laisserais le mot de lafin et la touche de l’humour à Monsieur Coluche « le travail est une malkadie , la preuve il y a une médecine du travail ..et pour terminer monsieur Henri Salvador nous l’as si bien chanter le travail c’est la santé , ne rient faire c’est la conserver , à plus de 80 ans passé il L’as bien prouvé ….
Bonjour Mathieu !
Merci pour vos encouragements et toutes les références culturelles que vous apportez. Quel commentaire ! Je devrai vous laisser une tribune !
Je suis bien d’accord avec le fait que le bien être des salariés ne peut constituer un moyen détourné pour les asservir et les garder à la botte de l’entreprise. Car effectivement, si toute notre vie dépend de notre travail, les dégâts sont terribles lorsqu’on le perd pour une raison ou une autre. La réalisation pleine de soi passe, un jour ou l’autre, par un nécessaire équilibre entre vie pro et vie perso. Après vous distinguez plaisir et bien-être et effectivement ces deux notions n’ont pas exactement la même définition. A mon sens, le bien être correspond à une disposition un peu plus large que le plaisir. Ce n’est pas pour autant que je pense que le plaisir n’a pas sa place au travail. Je l’entends même comme un des constituants au bien être.
BravoRomain. Tu commences très fort :) Très joli conte.
Coucou et merci Joanna !
Ton blog est absolument fabuleux tant dans son fond, que dans sa forme. Et ton style d’écriture est particulièrement vivant !
Si tu veux bien, j’aimerai l’afficher dans ma (très prochaine) blogoliste.
A bientôt
jai adoré c’était super mais vu que j’ai 12 ans j’ai un peu de problème avec la morale de l’histoire